Avec les fautes d'ortographe d'origine |
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Mémoire
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Fait à Chaumousey en mémoire le noeuf juillet Mil sept cent quarante deux (Même si la daté du 9 juillet 1742, je pense que cela a été écrit le 9 juillet 1842) |
Les noces |
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Ainsi la jalousie reigne, c'est fort chez les peuples Le monde ne prévoye pas la vangeance divine qui chatie les vices Ceci est le titre du cahier que j'ai découvert dans les papiers familiaux J'ai recopié ce cahier avec l'orthographe d'origine Etat en répertoire pour nos enfants de ce que nous y pouront faire a leur mariage a d'un chacun en particulier, Dieu bénisse nos enfants ainsi soit-il.
Mémoire de ce qui a été fait en leur honneurs a ce grand jour St Jean la noce le même jour : 1° Un habit en drap à seize francs l'aune est a sorties 2° nos enfants concerveront la tutelle de leur enfants jusque l'age de dix huit ans suivant l'article du côde civil d'apres cette age, l'enfant tirera les revenus de son bien mais nos enfants en pouront lui rendre compte qu'a vingt en an majeur. 3° Nous lui avons donné un demi Messal de bled aussi un demi en metail deux Imeaux en orge aussi deux en sarazin 4° L'habit coute 10 francs, a la sortie peut aller depuis 70 à 80 francs pour le tout. Notre Colon a reçu nos aveux mais bien des avances qu'il nous fait (signé Dominique Garnier) nous lui somme redevable.
1° la noce à été à la maison notre Charles a fourni la noce nous avons fourni le grain qu'il a eu besoin qui fera conte comme notre Colon, cela est fourni sans profiter à l'enfant. Il ne lui sera rien rien conter à leur conte ; c'est pour notre St Martin 2° Notre Marie à eu l'habit complet à sorties du même prix. L'habit à couté 40 francs la sortie à couté honoraire et tout 36 francs 15 sous ce qui fait un total de 76 francs 15 sous Notre Marie à reçu deux jumeaux de sarazin aussi semance de chanvre et du petit champ au dessous de la foret qui toute ensemancer seront comptée pour un demi reseal de conseigle Elle a reçu aussi un autre Imeau de conseigle et cinq Imeaux de bled Elle a reçu les aveux que nous lui faisons (signé Dq Garnier)
La noce à été chez nous le garçon a tout fourni ..le grain qui a falu pour la noce Notre Catherine a eu pour habit venant de chez Madame Clémant qui ne fut pas d'une convenance légal L'habit à couté 328 francs et la sortie a couté les francs. Le total est de 79 francs Notre Catherine a reçu deux Imeaux de sarazin aussi cinq Imeaux de conseigle le dix mai 1838 et aussi cinq Imeaux de bled Elle a reçu les aveux que nous faisons (signé Dque Garnier)
A eu pour habit en Esco avec fourniture pour la somme de quarante huit francs autre objet à Epinal pour deux francs cinq sous, autre objet à Chaumousey pour boeur et cuisiniere pour six francs dix sous total cinquante six francs quinze sous. Le courant de la même année elle a eu deux Imeaux de sarazin ou autre mélange aussi six Imeaux de conseigle l'omée en juillet un demi réseal de bled est cest ce que nous donnons à nos enfants Elle a reçu les aveux que nous faisons (signé Dque Garnier) Elle a vendu son petit bien en partage qu'elle a autorize a son mari Poirot a notre fils Colon du Void de Girancourt. Et notre fils et son épouse en ont fait testament le dix de septembre dix huit cent cinquante six devant Maître George notaire royal de Dompaire en sorte que ses fonds appartient a ses enfants mineurs
Elle a eu pour habit en Esco chez madame Salomon avec fourniture pour la somme de 49 francs plus les jours d'apres les effets pour 2 francs Elle eu en grain à la St Martin suivante ce que nous lui donnons le tout een grain qui est un demi réseal de bled six Imeaux de conseigle et deux Imeaux de mélange en grograin Le reste de l'argent des ses effets notre François Peringué les a reçu le courant de l'année 1841 aussi le payemant de la brebis avec son agneau estimé à douze francs Elle a reçu les aveux que nous faisons (signé Dque Garnier)
Notre Louis a travaillé à la maison étant obligé de quitté le post de Golbey pour plus le ...qu'on a payé le droit d'enregistrement pour lui Dans le courant des années dix huit cent quarante quatre et quarante et un on ne peu lui rien réclamé (signé Dque Garnier) Notre Louis mort le premier jour du moi de décembre 1844 que Dieu reçoive son Âme au nombre des bienheureux ainsi soit-il (signé Dque Garnier)
Le courant de l'année dix huit cent quarante deux nous lui avons acheté une génisse pleine de veau pour une somme de cent vingt sept fancs pour compte de ses habit d'honneur aussi d'une brebis même du grain que cette somme lui tiendra a compte Si les pères et mère ont payé l'enregistrement, elle a fait de l 'autre ouvrage à la maison après les arrangements qu l'on ne fait pas compte (signé Dque Garnier) Notre Apoline marié le dix sept avril avec nicolas Grange garçon majeur à son mariage à Igney a bâti une maison l'année dix huit cent Elle sa muni de ce qu 'elle a eu besoin pour son mariage (signé Dque Garnier dix huit cent quarante quatre)
Si les père et Mère ont payé pour le minoeur il a travaillé à la maison après les arrangements pour plus que la somme cy dessus porté et je defends dy revoqué à aucun conte Je signifie à touts les lecteurs de mes contes qu'il sont insi et non terminés. Il me manque le conte des deux garçons ouvriers. Je déclare que certain de nos gendre ont fait des reproches jusqu'à me faire anquêtte, je demande que Dieu rende justice a qui de droit il y a au bureau pour les payés (signé Dque Garnier) Fait à Chaumousey le quinze Mai dix huit cent quarante trois Même année dix huit cent quarante trois au moi de décembre et janvier suivant, il a travaillé à la maison des père et mère et a rabattu les dix sept francs cinq sous (signé Dque Garnier) Suit une liste de quittance de viager de chaque enfant pour l'année 1843 et 1844 Dominique Garnier déclare par son inscription que son fils Charles Louis mort le premier jour de décembre 1844 paye la viagère avant de mourir est d'un paymant qu'il ne voulait pas qu'il lui soit reproché qu'il venait à la maison paternelle avec ses père et mère mangé de leur pain O qu'el horreure (signe Dque Garnier |
L'instituteur |
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Autre traité :
1° L'Instituteur est chargé d'approprié et baliez l'Eglise a son besoin, blanchir tout les linges d'Eglise, le passer aussi chaud en leur besoin de propreté. 2° illisible 3° L'Instituteur fera régulieremant son Ecolle a commencer de la toussaint, le Dimanche et fêtes réservées pour le culte divin. 4° Il sera enseignér dans L'Ecolle touts les principes utiles et rurale a la campagne, la lecture imprimée et à la main que le maitre aquiesse de l'honneur de son Enseigne en telle sorte d'Ecole, se finira à pâque. 5° L'Ecole reprendra a Quasimodo il y aura vaquant un jour de la semaine jusqua le fenaison en ces temps d'Eté. L4Ecole se tiendra deux heure le matin, autant le soir le momant de la journé qui sera le plus convenable. 6° Il est defendu que l'instituteur ne prendra de pensé onnaire à instruire hors de la commune que jusqu'au nombre de quatre en iver et en Eté a son choix 7° Quand l'Ecole d'hiver sera formée quand le nombre de Eleve depassera quarante cinq le maitre est chargé de prendre un cler connu par les principaux de la commune capable par ses mours d'enseigner à place du maitre. 8° L'Instituteur aura pour rétribution de son exercice par chacun de ses Eleve Dix sous par moi de l'ivair et huit sous de ceux qui n'écrive pas par moi. 9° Si toute foi Monsieur le Maitre voulusse faire l'Ecole le soir nuitamant en Iver il aura le même prix que des Eleve de jour. 10° La paroisse fait Bon à l'Instituteur ou au serviteur de l'Eglise deux cent francs ; la Moitié par la commune de Chaumousey les autres cents francs doivent être versé par les deux autres communes. 11° Quand au devoir de Officier divin des jours d'ouvrir la fabrique, se charge de satisfaire le Maitre collegue 12° Le Maitre d'Ecole ou un commis de sa part est chargé de carillonner touts les Baptême sans être otorisée de rétribution. Le présent traité est ainsi conclu et agréer entre les parties en foi de quoi le Maitre d'Ecole sera logé à la maison d'Ecole et la classe à la salle . La commune se charge d'entretenir la maison. L'Instituteur fera son entré au service le vingt trois avril dix huit cent trente est ... en année s'il y a consentemant et nous ont signé » apres lecture faite le traité fait en double. |
Les histoires de partage |
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Lettre de Julie Garnier et de son mari François Perringué faisant suite à une convocation au tribunal pour un partage de biens appartenant aux parents de Julie GARNIER Cejourd'hui le 19 juin (1841) Et nous tacherons d'élever nos enfant comme nous pourrons et je vous le répète encore pour me présenter au tribunal avec une mémé cet une chose que je ne peut pas faire, et nous ne voulons pas nous en méler avec eux. Cet votre bien faites en ce que vous voudré et vous penserer si je sui votre enfant et vous me faite bien de la paine Dieu surtout Perringué François, je vous salut Julie Garnier ![]() |